2 fichiers qui permettent de constituer ce petit journal .
Il a été conçu pour donner de l’information aux usagers de la C.U. Arrageois mais aussi plus largement sur les liens entre eau et climat.
2 fichiers qui permettent de constituer ce petit journal .
Il a été conçu pour donner de l’information aux usagers de la C.U. Arrageois mais aussi plus largement sur les liens entre eau et climat.
La coordination eau bien commun France s’est réunie le 17 mars 2018 . Vous pouvez trouver le projet d’action dans le KIT CITOYEN présent sur le site
En mars 2018, les associations lançaient l’alerte : à Vittel, Nestlé Waters surexploite la nappe phréatique depuis 25 ans. La situation est telle que la question de l’alimentation en eau potable des riverains se pose. Depuis, une solution alternative bancale a été proposée, une concertation publique a été organisée… mais la situation stagne. France Nature Environnement et 5 associations locales en appellent désormais au Préfet. Il faut à tout prix abroger les arrêtés qui autorisent Nestlé Waters à épuiser l’eau de Vittel depuis 25 ans.
http://coordination-eau.fr/2019/03/vittel-6-associations-en-appellent-au-prefet/
et aussi
A lire sur le site de Reporterre cet article qui dénonçait déjà en mai 2018 les conditions d’attribution à Nestlé du droit de prélever l’eau dans la nappe phréatique
en cliquant ou en recopiant le lien suivant:
https://reporterre.net/A-Vittel-Nestle-privatise-la-nappe-phreatique
Un collectif s’est constitué pour la préservation de l’eau dans le Cher et à Bourges. Il est composé de l’Association de Veille Environnementale du Cher (AVEC), de l’Association Force Ouvrière Consommateurs (AFOC), de l’Association des Maraîchers de Bourges (AMB), etc. Une première réunion publique à Bourges en janvier a pointé les principaux enjeux concernant l’eau potable dans l’agglomération.
La gestion de l’eau potable reste un défi quotidien entre augmentation de la consommation, bras de fer public-privé, pollutions, fusion des petits syndicats. Dossier publié par la Nouvelle République le 18/02/2019.
Par trois avis du 10 janvier 2019, la commission d’accès aux documents administratifs (CADA) vient de donner entière satisfaction à une association d’usagers.
La commission précise que les éléments financiers ne sont pas couverts par le secret industriel et commercial puisqu’ils concernent le coût du service public. Les usagers ont donc le droit de connaître, de façon détaillée, les éléments financiers qui concourent à la fixation des tarifs d’un service public comme ceux de l’eau potable ou de l’assainissement.
Les différents rapports établis par la commission de contrôle financier (CCF), contrôle obligatoire en vertu des textes, et celui des vérificateurs, dans le cas où elle recourt à des cabinets externes, sont également communicables.
DES INVESTISSEMENTS DE PLUS EN PLUS LOURDS SUR FONDS PUBLICS,
SANS TENIR COMPTE DES MUTATIONS LIÉES AU CHANGEMENT CLIMATIQUE , ET UN GASPILLAGE QUI NE PROFITE QU’À UNE MINORITÉ DE PRIVILÉGIÉS
C’est à l’occasion de la baisse historique du niveau du lac d’Annecy enregistrée à l’automne 2018 que le pôle montagne de la FRAPNA a été interrogé par plusieurs medias sur la neige artificielle et les conflits d’usage éventuels que son développement pouvait engendrer.
En réponse, le pôle montagne a développé et actualisé un argumentaire élaboré à la suite de la COP 21.
Il soutient en substance que si la neige artificielle a été inventée à l’origine pour pallier des déficiences d’enneigement momentanées, le problème réside dans la rapide transformation de ces « rustines » en instrument constitutif d’une mutation qui a vu le ski se transformer en un véritable « ski artificiel » aux incidences environnementales critiques qui ne sont pas prises en compte.
Car dans un contexte commercial très concurrentiel, s’alignant à marches forcées sur les pays européens concurrents, l’équipement en neige artificielle est devenu systématique sur les domaines skiables français, où l’on raisonne désormais en « taux de couverture », et non plus en adéquation des seuls besoins.
Par ailleurs des mutations liées au changement climatique ne sont pas prises en compte. Car désormais la saison d’enneigement est de plus en plus retardée et plus courte. Et les pluies sont plus abondantes que les chutes de neige.
Dans ce contexte, les investissements lourds indispensables au développement à marches forcées de la neige artificielle, amortissables sur de longues périodes, sont une véritable aberration, puisqu’ils sont très fortement subsidiés par de l’argent public.
Un gaspillage qui ne profite de surcroît qu’à une minorité d’élites privilégiées…
Autant de constats et de pistes de réflexion qui légitiment la publication de la Note de positionnement du pôle montagne de FNE Auvergne Rhône Alpes que nous publions ci-après.
(transmis par Marc Laimé)
Gestion publique et gestion privée – Que faut il savoir ?
De lecture facile, les éléments de base d’après « alternatives économiques ».
Gestion publique, est ce la solution
L’EAU EST UN BIEN COMMUN QUI NE PEUT DÉPENDRE DU PRIVÉ
Les Zurichois rejettent leur nouvelle loi sur l’eau.
Le corps électoral du canton de Zurich a refusé par 54.6 % des voix la nouvelle loi sur l’eau qui avait été adoptée en juillet 2018 par le Parlement cantonal, mais à une courte majorité (84 voix contre 77).
Petite révolution après des dizaines d’années de gestion externalisée, les services d’eau potable et d’assainissement de la commune seront gérés en régie à partir du 1er juillet.