MISE EN PLACE DE LA LOI NOTRe SUR LA COMMUNAUTÉ D’AGGLO DE BESANÇON

   La loi NOTRe c’est, regrouper différents systèmes de gestion de l’eau et de l’assainissement sur un territoire élargi, harmoniser cette gestion, mutualiser les services et les achats de matériel, rassembler différents personnels provenant de divers syndicats des eaux, harmoniser le tarif de l’eau sur le nouveau territoire …

Voici la démarche de la Communauté d’Agglomération du Grand Besançon.

Le grand Besançon est en service public de l’eau et de l’assainissement. Christophe Lime, le vice président de l’agglo en charge de l’eau, est aussi président de France Eau Publique.

Nous l’avions invité à Arras lors des débats sur la future gestion de l’eau à la Communauté Urbaine. Il a été boudé par la grande majorité des élus qui avaient estimés que sa parole et son expérience n’étaient sans doute pas utiles …

Démarche_loi NOTRe Grand Besançon CAGB_transfert_Eau_Assainissement 

Les compteurs d’eau à télé-relève sont-ils vraiment inoffensifs ?

On veut  imposer partout les compteurs communicants par ondes pour l’électricité, le gaz, l’eau …     Un grand problème sanitaire à venir ?     Une question de société sur le « tout connecté » ?

Deux articles, ci dessous, par l’association Robin des Toits, et par Stéphane Lhomme de l’observatoire du nucléaire.

« Au regard de tous ces éléments, la technologie filaire (par cable) est la seule à pouvoir répondre aux exigences de suivi de la consommation, en temps réel, sur le réseau et à garantir l’innocuité sanitaire.

Les compteurs communicants en filaire c’est possible, pour l’électricité, comme pour le gaz, comme pour l’eau en s’en donnant les moyens. »

les compteurs d’eau à télérelève sont ils inoffensifs?

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et    Les usagers sont ils de simples jouets entre les mains des opérateurs ?

Compteurs installés en l’absence des propriétaires    

« Une négation de la citoyenneté » …  Nous sommes en droit de refuser ces compteurs.

Bataille pour l’eau entre agriculteurs « irrigants » et défenseurs du Marais poitevin

En amont du Marais poitevin, une coopérative d’agriculteurs prévoit de construire 19 « bassines » pour retenir 8,6 millions de m³ d’eau. But : l’irrigation estivale de 226 exploitations. Associations, élus, citoyens et partisans d’une autre agriculture se mobilisent pour les en empêcher.

Au-delà, c’est tout un modèle agricole et son soutien par les pouvoirs publics que le collectif conteste. « En amont, le semencier Pioneer France maïs vient de s’installer dans la région. En aval, il y a la Sica Atlantique et le port de La Pallice, à La Rochelle, pour l’exportation. Et moi, paysan-boulanger, je me situe au même point que n’importe quel indigène qui se fait bouffer la vie par l’agro-industrie ».

( « Reporterre » le quotidien de l’écologie  https:  //reporterre.net/)

 

Bassines au marais Poitevin

« Pillage  » par l’Etat des finances des agences de l’eau

COMMUNIQUE DE PRESSE /

Une partie de nos factures d’eau part vers les agences de l’eau qui ont un rôle important dans l’aide aux collectivités. L’Association des Maires de France dénonce le prélèvement par l’état de fortes sommes dans les finances de ces agences.

L’AMF exige de l’Etat le respect du budget des agences de l’eau .

Depuis la loi de finances 2015, l’Etat ampute chaque année le fonds de roulement des agences de l’eau de 175 millions d’euros pour financer son propre budget, sans compter une diminution drastique et imposée des effectifs. Ces prélèvements se font au détriment direct des collectivités et des missions des agences de l’eau sans cesse élargies et renforcées.

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Blois baisse le prix de l’eau

La baisse du prix de l’eau à Blois à partir du 1er janvier 2018.

Le service de l’eau a été repris en régie municipale depuis le 1er janvier 2017. Marc Gricourt et sa majorité avait alors annoncé leur souhait de baisser les tarifs quand cela serait possible. Grâce à 50 % de recettes d’exploitation disponibles, des marges de manœuvres permettent de baisser le niveau de la part variable communale. De 1,79 €/m3, le prix de l’eau potable blésoise va descendre à 1,25 €/m3. Soit une facture type pour un couple avec deux enfants de 427 € TTC (assainissement compris, 230 € sans l’assainissement), soit une baisse de 13,5 % (67 €) par rapport au 1er janvier 2017 soit 3.55 euros/m3.

Info transmise par JL Touly 14.11.17

« L’accaparement de l’eau – une soif insatiable de l’or bleu »

La vente des droits relatifs à l’eau aggrave la faim et
alimente les conflits.

eau accaparement des terres agroindustrie …

« L’accaparement de l’eau » n’est pas encore une notion courante. Pourtant, l’acquisition de droits relatifs à l’eau est le moteur de l’accaparement des terres. La soif de l’eau pousse des investisseurs et des États à acquérir d’énormes surfaces de terre arable et les ressources en eau connexes dans les pays du Sud. »

Une enquête, des chiffres, un constat, des actions, par le service des églises protestantes de Suisse.

Véolia condamnée

VEOLIA CONDAMNÉ pour avoir réduit le débit d’eau à un habitant de Hénin Beaumont. Soutenu par France Libertés , le plaignant a gagné son procès : le « lentillage  » ou réduction du débit d’eau , même en cas de difficultés de paiement de la facture d’eau est interdit … voir article VDN du 06 09 17.

Une plage privatisée

La plus grande plage d’Europe est désormais privatisée. Veolia a obtenu la concession des cinq kilomètres de LA BAULE (Loire-Atlantique). Les commerçants comme la population s’interrogent sur les conséquences de cette gestion par une entreprise privée.

2017-05-12 REMOUS La Baule : Veolia privatise la plage et provoque la colère des habitants par Marc Laimé, vendredi  12 mai 2017 @ 14:48

La plus grande plage d’Europe est désormais privatisée. Veolia a obtenu la concession des cinq kilomètres de La Baule (Loire-Atlantique). Les commerçants comme la population s’interrogent sur les conséquences de cette gestion par une entreprise privée.

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GÊNER le retour à la gestion publique

Mai 2017 : Attac France dénonce une atteinte à la démocratie locale et à la remunicipalisation de l’eau par le gouvernement espagnol

Par le biais du projet de budget de l’année prochaine 2018 qui est actuellement discuté au parlement, le gouvernement espagnol tente d’imposer aux municipalités une barrière supplémentaire à la remunicipalisation de leurs services d’eau et d’assainissement. Cette tentative s’inscrit dans la stratégie de reconquête des services locaux par les entreprises privées et les politiciens qui les soutiennent partout en Europe.

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