L’Inserm a mis au point un modèle mathématique capable d’évaluer les effets de plusieurs molécules en mélange (effets cocktails) . L’institut a étudié onze perturbateurs endocriniens et mis en évidence des effets 10 à 1.000 fois plus élevés que pour la molécule seule.
« Il apparaît désormais clair, que continuer à focaliser les recherches sur ces produits chimiques « individuels » est de nature à sous-estimer le risque lié à leurs expositions simultanées, particulièrement chez les femmes enceintes » explique l’Inserm.